En réponse à laura.
@ Laura : il y a une règle de vie simple (non écrite), ne jamais s’engager si la contrainte financière paraît disproportionnée. Car on peut se contraindre quelques semaines ou quelques mois, mais pas « toute une vie ».
Donc si vous pensez dès le départ que c’est vraiment trop (en regardant votre reste à vivre, le taux d’endettement, tout ça comparé à votre mode de vie ou train de vie), il vaut mieux renoncer.
Ce que je n’ai pas bien compris dans votre histoire, c’est si vous avez signé un simple contrat de réservation ou déjà le contrat (notarié) de location-accession.
En général, le point de départ, c’est un commercial qui vous fait signer un contrat de réservation, puis sa direction le contresigne et vous le retourne en recommandé. Et là, avant de signer plus tard le contrat de location-accession (devant notaire) il faut vérifier votre solvabilité, calculer la mensualité demandée en phase locative (fraction locative + fraction acquisitive) et obtenir d’un établissement de crédit la validation de votre dossier (supposant donc que l’offre de crédit théorique à cet instant permette de proposer une mensualité de remboursement égale ou inférieure, hors assurance décès invalidité, à la dernière échéance locative). Ca, c’est le début du parcours administratif, sachant qu’au moment de la levée d’option, pour devenir réellement propriétaire avec l’acte d’achat authentique, vous êtes libre de payer cash ou d’aller chercher un crédit chez qui vous voulez et sur la durée que vous voulez (à condition de trouver une banque d’accord, bien sûr 🙂 ). Donc, CSF, TSF, SNCF, PABEZEF, qui vous voulez ! 😉
C’est plus clair comme ça ? Du coup, si vous croyez après complète réflexion que la pente est trop raide, c’est à vous de voir, mais il vaut mieux parfois renoncer que regretter…