@ Isabelle : Hé bé…. 🙂
Je me demande si vous n’avez pas gagné le prix du commentaire le plus long ! 😉
C’est déjà ça dans votre contexte…
Bon, des blaireaux comme ce conseiller (je suppose que tout ce que vous me dites est exact, sinon, ce ne serait plus un blaireau, hein !) il y en a partout et dans tous les métiers.
Pour le PSLA, il faut aussi savoir que les banques partenaires n’aiment pas trop voir le crédit final leur échapper. La bonne stratégie est donc plutôt de faire la simulation initiale avec elles et de ne changer de cheval que bien plus tard au moment de la levée d’option. Sinon, le risque est de se voir préférer un autre profil de client dont la banque pense que le crédit final sera pris chez eux.
Qu’est-ce qu’il vous reste comme levier ? Le vendeur du programme : puisque c’est lui qui a choisi la banque partenaire, il a les moyens de discuter, et s’il pense que vous êtes un bon client potentiel il peut plaider votre cause (pas forcément pour vos beaux yeux, dont nous ne connaissons d’ailleurs pas la couleur) au moins dans son intérêt.
En revanche, si la commercialisation marche du feu de Dieu et qu’il y a la queue pour acheter, il n’aura peut-être pas envie de se bagarrer pour vous.
Sinon, je ne vois pas trop, à moins d’avoir des entrées ou relations dans cette banque ou dans la collectivité locale qui aurait éventuellement initié l’opération (si c’est le cas), il faudra renoncer et trouver autre chose avec tva à 20 % dans le neuf, ou regarder l’ancien.
Voilà mon avis, d’un appui très modeste sur ce coup là…
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Par : Marc
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