En réponse à Nina.
@ Nina : pfff Nina, mais je vous en pose, moi, des questions ? 🙂
Pour l’histoire de la pénalité de 1 ou 2 %, voir la réponse de JeanneMR du 18 décembre 2013 (beaucoup plus haut dans les commentaires) et les échanges antérieurs avec elle.
Pour le délai « bloquant » de 15 ans, non, on peut s’affranchir avant en revendant le logement, par exemple et en s’appuyant sur les évènements de la vie listés par les impôts dans un article du BOFIP (le fameux « alinéa 360 » que je rabâche régulièrement, lien à retrouver parmi les commentaires, avec les touches de recherche « Control F » c’est plus facile ) pour échapper au reversement du différentiel de TVA.
Mais en tout état de cause, ne pas acheter un T2 si on pense faire un enfant dans les 2 ou 3 ans qui suivent (par exemple) me paraît plus simple à gérer qu’un parcours complet de PSLA… suivi d’une nouvelle recherche et d’un déménagement
Sinon, l’intérêt réel du PSLA, pour quelqu’un à la situation familiale stable, c’est de trouver un logement moins cher à l’achat (prix de vente plafonné et tva à taux réduit) et à l’usage (économie de taxe foncière sur 15 ans).
Et la revente au vendeur initial n’est qu’une possibilité, qu’on ne devrait jamais utiliser si on a bien acheté, car la revente à un nouvel acquéreur au prix du marché est le plus souvent préférable.
Faites vous une philosophie personnelle avec tout ça ! 🙂