@ Anne : Je n’ai pas de contrat de location-accession à proposer, vu que c’est votre vendeur qui vous le proposera. De plus, il n’y a pas systématiquement de clauses anti-spéculatives. Il y en a quand le vendeur en prévoit spécifiquement, notamment quand une collectivité locale a initialement fait des efforts en accordant une subvention ou en faisant un effort sur le prix du foncier consenti à l’aménageur etc…. Comme les clauses anti-spéculatives sont purement contractuelles et veulent empêcher les achats d’opportunité pure, elles sont en général limitées dans le temps (le plus souvent dans les 5 ans environ) et vont porter sur le remboursement des aides ou sur un rachat à prix convenu ou autre disposition destinée à dissuader de revendre à court terme dans l’espoir d’empocher une plus-value. Il ne s’agit que de cas d’espèces à chaque fois, selon le contexte.
@ Julien : merci pour ce moment de franche rigolade !
Allez donc trouver un banquier et demandez lui si un gros apport est un problème. A mon avis, sa mâchoire se décroche illico !
Non, un apport de 40 % est au contraire un formidable atout surtout dans un contexte de sélectivité des profils d’emprunteurs. Il crédibilise votre démarche et diminue d’autant le montant à emprunter. Souriez !