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Par : Marc

@ Romain : les réserves ou malfaçons sont faites pour êtres levées / résolues, que ce soit par les entreprises du chantier ou à la suite de procédures plus complexes comme des expertises à la suite d’une déclaration de sinistre auprès de l’assurance dommages ouvrage, par exemple (selon la nature et le délai du défaut). Si le défaut est réparé, ce qui est le cas de loin le plus fréquent, il n’y a pas de préjudice important et pas de dol non plus (pas de vice du consentement si la communication est loyale et la prise en charge des réparations idem). Le problème des TMA ou aménagements complémentaires est classique et rien n’oblige le vendeur à vous les rembourser ni à les reprendre d’ailleurs (je suppose et espère qu’il les a autorisés ?) car certains aménagements sont si personnalisés qu’ils peuvent poser problème pour revendre le logement à un autre acquéreur potentiel. Car vu du côté du vendeur, il perd un acquéreur (et donc du chiffre d’affaires et de la marge) et on lui demande non seulement de ne rien encaisser mais en plus de décaisser… en général, ça ne séduit pas (et il arrive parfois que le vendeur demande au locataire-accédant de remettre le logement en l’état initial). Cela étant, vous n’avez rien à perdre à écrire et faire une proposition de demande de remboursement de votre cuisine par exemple, mais ceci ne préjuge en rien de la manière dont elle sera accueillie.
D’une manière générale, il ne faut surinvestir que si l’on est sûr de vouloir et pouvoir lever l’option, ce qui suppose plutôt de garder le logement en l’état pendant quelques mois, le temps de voir si l’on si plaît vraiment et si rien de grave n’est à signaler dans le logement.


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